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Couteauxde poche rĂ©gionaux. Terres plurielles, nos rĂ©gions ont chacune une histoire Ă raconter, un patrimoine culturel Ă partager ou des paysages uniques Ă rĂ©vĂ©ler. Afin de rendre hommage Ă ces terres au caractĂšre singulier, nous avons créé des couteaux de poche qui sâinspirent des traditions rĂ©gionales. Ici, une hermine forgĂ©e
Couteaurégional pliant. Les couteaux de poche sont des petits bijoux issus de notre artisanat ou de nos régions. Symboles d'une région lié à l'usage que les personnes en faisaient, cette diversité est trÚs intéressante. Claude Dozorme a revisité en liner ces couteaux de régions en retrouvant l'Alpin, l'Alsacien, le Corse, le Capucin
cash. [Bonnes feuilles estivales 4/6] Tous les dimanches de cet Ă©tĂ©, le 1 vous fait dĂ©couvrir les premiĂšres pages de romans Ă paraĂźtre Ă la rentrĂ©e littĂ©raire. Aujourdâhui, Chien 51, de lâĂ©crivain Laurent GaudĂ© Actes Sud.Autrefois, dans sa GrĂšce natale, Zem Sparak Ă©tait un militant de la libertĂ©. Mais le pays est en faillite et malgrĂ© lâinsurrection, il est vendu au plus offrant, la mĂ©gafirme GoldTex, qui rĂ©prime massivement les rĂ©voltĂ©s. Lâancien militant Sparak, lui, a trahi ses idĂ©aux. Devenu flic, chien », il opĂšre dans la zone la plus polluĂ©e de la mĂ©galopole futuriste créée et rĂ©gie par GoldTex. Mais au dĂ©tour dâune enquĂȘte, le passĂ© ressurgit. Dans ce roman dâanticipation, qui se fait lâĂ©cho de notre monde inquiĂ©tant, Laurent GaudĂ© interroge aussi notre rapport Ă la transmission. En voici les premiĂšres pages, avant sa parution le 17 aoĂ»t chez Actes Sud. 1 DERNIĂRES VISIONS DU PORT Dâun coup, la ville devint folle. Lorsque les dirigeants de GoldTex annoncĂšrent que le rachat de la GrĂšce Ă©tait finalisĂ©, les citoyens dâAthĂšnes furent pris de panique. Eux qui sâĂ©taient massivement opposĂ©s Ă cette acquisition, qui, durant des mois, avaient manifestĂ©, soutenu la jeunesse lorsquâelle construisait des barricades et jurait dâaller jusquâau bout, finirent par se tourner vers lâoppresseur et voulurent tous partir. MĂȘme les plus rĂ©ticents Ă©taient en proie Ă cette obsession quitter la ville, ne pas rester prisonniers de ce piĂšge, rejoindre au plus vite GoldTex et poursuivre leur vie ailleurs. Ils sentaient bien que leur monde allait disparaĂźtre et ils avaient peur. Des rumeurs circulaient on disait quâil fallait faire vite, que seuls les premiers seraient pris, que le sort des autres promettait dâĂȘtre sombre. On disait que la GrĂšce allait ĂȘtre dĂ©membrĂ©e, vendue par morceaux, et que ceux qui resteraient habiteraient bientĂŽt sur une terre dâesclaves, oubliĂ©s de tous. Il fallait sâen aller. Plus personne nâen doutait. La folie sâemparait de la rue. Sur lâavenue Tsaldari, une femme qui traĂźnait derriĂšre elle deux valises et ses trois enfants en bas Ăąge sâarrĂȘta net, se dĂ©grafa jusquâĂ montrer sa poitrine et se mit Ă hurler Prenez-nous ! Prenez-nous puisque vous achetez tout ! » La dĂ©faite Ă©tait consommĂ©e et la ville entiĂšre voulait fuir Sur le boulevard Thiseos, des hommes essayĂšrent de forcer un taxi Ă rejoindre le port. Devant la rĂ©sistance du chauffeur qui sâenferma dans lâhabitacle, ils finirent par saccager le vĂ©hicule, puis lâasperger dâessence et danser autour avec une rage quâeux-mĂȘmes, des jours plus tard, furent incapables dâexpliquer. La dĂ©faite Ă©tait consommĂ©e et la ville entiĂšre voulait fuir. Mais cela ne dura que quelques jours. TrĂšs vite, une rĂ©signation silencieuse succĂ©da aux comportements les plus fous. Si câĂ©tait encore de la panique, elle Ă©tait dâune autre nature. Les gens sortaient dans la rue avec accablement, comme sâils sâĂ©taient rĂ©solus Ă nâĂȘtre que du bĂ©tail, comprenant que leur individualitĂ© ne pouvait plus sâopposer Ă rien de ce qui venait. AthĂšnes marchait tĂȘte basse. Les familles avançaient, visage fermĂ©, sans un mot. Toutes les artĂšres qui menaient au port, Ă la gare ou Ă lâaĂ©roport Ă©taient saturĂ©es. Dans un rĂ©flexe absurde, beaucoup prenaient leur voiture, puis, une fois bloquĂ©s dans des embouteillages dĂ©mesurĂ©s, constatant quâils ne pourraient plus ni avancer ni faire demi-tour, abandonnaient leur vĂ©hicule en plein milieu de la route pour poursuivre Ă pied, rajoutant ainsi encore au chaos. La longue file de voitures abandonnĂ©es semblait dĂ©sormais nâĂȘtre lĂ que pour obliger les foules Ă des circonvolutions cruelles rentrer le ventre, mettre sa valise sur la tĂȘte, se faufiler entre les carrosseries qui brillaient au soleil et rĂ©verbĂ©raient une chaleur insupportable. Sur la bretelle pĂ©riphĂ©rique qui menait Ă lâaĂ©roport, le spectacle Ă©tait inouĂŻ des hommes et des femmes, par milliers, patients, rĂ©signĂ©s. Les rues grondaient du piĂ©tinement des foules impatientes MalgrĂ© les annonces qui prĂ©cisaient rĂ©guliĂšrement que plus aucun avion ne prenait de passager, que de toute façon il Ă©tait impossible dâatteindre les aĂ©rogares tant il y avait de gens sur place, la foule continuait Ă se prĂ©senter dans le vain espoir quâun pilote finisse par contrevenir Ă tous ces ordres. La ville entiĂšre voulait partir mais elle Ă©tait immobilisĂ©e par son propre nombre. Les rues grondaient du piĂ©tinement des foules impatientes, de ces milliers dâenfants tenus par la main Ă qui on disait de cesser de pleurer. Lorsque les nouveaux arrivants dĂ©couvraient cette marĂ©e humaine, Ă©trangement, au lieu de rebrousser chemin, ils y prenaient place avec lâassurance que câĂ©tait bien lĂ quâil fallait ĂȘtre, faisant taire en eux leur bon sens, et mĂȘme leur instinct de survie, acceptant de sâannihiler dans la masse comme sâil y avait un rĂ©confort Ă se presser ainsi les uns contre les autres, celui, peut-ĂȘtre, de constater quâils nâĂ©taient pas seuls et que leur frayeur et leur infortune Ă©taient partagĂ©es. Tout Ă©tait lent et pĂ©nible. La foule Ă©tait exaspĂ©rĂ©e par sa propre impuissance. Il fallait supporter cette attente qui, au mieux, nâamĂšnerait quâau triste contentement dâavoir gagnĂ© quelques dizaines de mĂštres et au pire, vous excitait les nerfs. Lui, comme les autres, sâĂ©tait levĂ© pour partir mais, Ă la diffĂ©rence de toutes ces familles apeurĂ©es, il avait un badge et un brassard qui lui permettaient de passer les barrages, de doubler les files immobiles. On lâenviait pour cela. Il le sentait dans le regard que les femmes Ă©puisĂ©es lui lançaient. Sur le port du PirĂ©e, deux paquebots sâapprĂȘtaient Ă quitter AthĂšnes. CâĂ©taient des bĂȘtes immenses mais qui semblaient bien petites au vu de ces milliers de candidats qui espĂ©raient monter Ă bord. Lâembarquement avait commencĂ©. Tous avançaient vers la passerelle avec une lenteur inventĂ©e par un bourreau mĂ©thodique. Il regardait cette humanitĂ© dĂ©faite et se sentait honteux de la quitter Il fallait montrer ses papiers, renoncer aux objets trop volumineux quâon avait espĂ©rĂ© pouvoir emporter. CâĂ©tait chaque fois des cris, des protestations, des tentatives vaines de convaincre. Il regardait cette humanitĂ© dĂ©faite et se sentait honteux de la quitter. Le navire militaire qui Ă©tait Ă quai, plus petit que les deux autres, semblait lâattendre. Personne ne sâen approchait. Il Ă©tait protĂ©gĂ© par des soldats qui tenaient Ă distance les candidats Ă lâexil. Câest lĂ quâil allait dâun pas rapide. Deux jours plus tĂŽt, il avait reçu son ordre dâĂ©vacuation personnel. Il avait fallu essayer de faire tenir dans sa petite valise tous les objets de son quotidien. Il nâavait dit au revoir Ă personne. Ses parents Ă©taient morts quelques annĂ©es plus tĂŽt, et pour la premiĂšre fois, il en fut heureux car il pensa Ă la tristesse qui les aurait saisis sâil leur avait Ă©tĂ© donnĂ© de voir ce naufrage. Le bateau finissait de faire le plein. Il monta Ă bord et sâinstalla sur le pont pour observer le plus longtemps possible ce pays quâil quittait. Cela aurait dĂ» durer des heures encore, le temps que lâĂ©quipage termine les derniĂšres vĂ©rifications, mais soudain, un bruit fracassant dĂ©chira ses oreilles. Il sentit un souffle chaud sur son visage et dut sâaccrocher Ă la rambarde pour ne pas tomber Ă terre. Une explosion venait de souffler, en une fraction de seconde, toutes ces vies, toutes ces valises, ces familles encombrĂ©es. Elle avait mĂȘme percĂ© la coque du paquebot dâĂ cĂŽtĂ©. De lĂ oĂč il Ă©tait, il vit la foule refluer vers les hangars. CâĂ©tait la panique. Plus rien nâexistait de la calme lenteur qui rĂ©gnait encore lâinstant dâavant. Des corps tombaient, dâautres les piĂ©tinaient sans mĂȘme sâen rendre compte. Des mains lĂąchaient des enfants. Des familles se retrouvaient sĂ©parĂ©es. Et puis, quelques minutes plus tard, du cĂŽtĂ© des hangars, Ă lâendroit oĂč tout le monde accourait pour sâĂ©loigner le plus possible du lieu frappĂ© par la mort, une seconde bombe explosa, tuant ceux qui croyaient sâĂȘtre sauvĂ©s. CâĂ©tait imparable et monstrueux. Tout saignait. Tout gĂ©missait. Plus personne ne savait vers oĂč fuir. Une ville Ă la bouche grande ouverte qui sentait la poudre et le sang Lui Ă©tait tĂ©tanisĂ©. Il ne pouvait plus quitter des yeux ce spectacle horrible. Il savait quâil faudrait des heures pour retrouver les victimes et les compter. Des heures pour Ă©vacuer la zone et organiser le secours des blessĂ©s. Des heures pour ramasser les corps en miettes. Il Ă©tait abasourdi, impuissant devant le carnage, avec, sous les yeux, cette foule indistincte qui venait de perdre tout espoir. Il pensa immĂ©diatement au groupuscule Tigimas*. CâĂ©tait probablement lui qui venait de frapper. Cela faisait des semaines quâil menaçait de sâen prendre aux civils. Il avait prĂ©venu quâil ciblerait les gares et les ports pour empĂȘcher les dĂ©parts. Tout allait devenir laid. La GrĂšce allait ĂȘtre brĂ»lĂ©e, Ă©crasĂ©e. Elle allait se dĂ©vorer elle-mĂȘme. Il Ă©tait lĂ , lui, accablĂ© par ce spectacle dâhorreur, inutile, parce que loin, dĂ©jĂ si loin, sĂ©parĂ© du drame par les bastingages, par la hauteur du bĂątiment et par le fait que le capitaine avait ordonnĂ© de prĂ©cipiter le dĂ©part et de larguer les amarres au plus vite. La lenteur avec laquelle le navire quitta le port contrastait avec la fureur qui rĂ©gnait sur les quais. Il resta sur le pont, ne pouvant quitter des yeux, face Ă lui, la ville qui fumait, souffrait, criait. Les familles, lĂ -bas, comprenaient que les bateaux ne partiraient pas aujourdâhui, quâelles Ă©taient prises au piĂšge, frappĂ©es de tous cĂŽtĂ©s. Il les regarda pendant de longues minutes. Il ne pouvait plus rien, nâĂ©tait dĂ©jĂ plus lâun dâeux. Il savait quâil ne reviendrait plus. CâĂ©tait la derniĂšre image dâAthĂšnes quâil emportait avec lui une ville Ă la bouche grande ouverte qui sentait la poudre et le sang. Tout Ă©tait fini. Il ne serait plus jamais grec. * η γη Όα ti gi mas » Notre terre », en grec. Chien 51, Laurent GaudĂ©, Actes Sud, Ă paraĂźtre le 17 aoĂ»t 2022, 304 pages, 22 euros. Bio express Romancier, nouvelliste et dramaturge nĂ© en 1972, Laurent GaudĂ© publie son Ćuvre, traduite dans le monde entier, chez Actes Sud. Il est notamment lâauteur de La Mort du roi Tsongor 2002, prix Goncourt des lycĂ©ens, prix des Libraires, Le Soleil des Scorta 2004, prix Goncourt, prix Jean-Giono, Eldorado 2006, Ăcoutez nos dĂ©faites 2016 et Salina. Les trois exils 2018
Faits divers Dans la nuit du 10 au 11 aoĂ»t, une rixe a Ă©clatĂ© entre deux femmes transgenres Ă Pigalle, dans Paris. Lâune dâentre elles a Ă©tĂ© tuĂ©e Ă coups de couteau, tandis que lâautre a pris la fuite. PubliĂ© le 12 aoĂ»t 2022 Ă 16h46 Image d'illustration. Photo © BASTIEN LOUVET / BRST/SIPA Une rixe mortelle en plein cĆur de Pigalle. Celle-ci a Ă©clatĂ© dans ce quartier parisien entre deux femmes transgenres dans la nuit du mercredi 10 au jeudi 11 aoĂ»t, rapporte Le Parisien. Lâune dâentre elles aurait tuĂ© lâautre Ă coups de couteau. Les faits ont eu lieu aux alentours de 2 heures 10, Ă lâangle du boulevard de Clichy et de la rue Germain Pilon. Une altercation a virĂ© au drame entre ces deux personnes transgenres, lâune portant des coups de couteau Ă lâautre avant de prendre la fuite. MalgrĂ© les secours qui ont prodiguĂ© un massage cardiaque Ă la victime inconsciente et lâont transportĂ© Ă lâhĂŽpital en urgence absolue, la victime est dĂ©cĂ©dĂ©e vers 5 heures du LIRE Miss France 2023 une femme transgenre tente sa chance pour la premiĂšre fois La suspecte en fuite Quant Ă lâauteure suspecte des coups de couteau, elle est toujours en fuite. AprĂšs sâĂȘtre dĂ©barrassĂ© de lâarme du crime, qui a Ă©tĂ© retrouvĂ© ensanglantĂ©e par les policiers Ă proximitĂ© du lieu du drame, la suspecte aurait Ă©tĂ© vue en train de monter dans un taxi Ă proximitĂ© du Moulin Rouge. Elle nâa pour lâheure toujours pas Ă©tĂ© retrouvĂ©e. Le mobile de lâagression mortelle reste inconnu, et la police judiciaire a Ă©tĂ© chargĂ©e de lâenquĂȘte. Ă Paris, les personnes transgenres sont rĂ©guliĂšrement agressĂ©es au Bois de Boulogne oĂč elles se prostituent. Lâaffaire rĂ©cente la plus emblĂ©matique est celle de Vanessa Campos. Deux Ăgyptiens de 24 et 29 ans avaient Ă©tĂ© condamnĂ©s en janvier dernier Ă des peines de quinze et vingt ans de rĂ©clusion criminelle pour ce crime commis dans la nuit du 16 au 17 aoĂ»t 2018 sur cette travailleuse du sexe transgenre sans-papiers. Quatre autres hommes ont Ă©copĂ© de peine de trois ans de prison, dont deux avec sursis Ă six ans dâemprisonnement pour leur participation Ă lâexpĂ©dition mortelle, explique le quotidien.
Les couteaux rĂ©gionaux, ou comment passer Ă la loupe la qualitĂ© dâun savoir-faire coutellerie Ă une part prenante du patrimoine Français. Connue et reconnue pour son savoir-faire traditionnel dans le monde entier. Aujourdâhui, nous vous proposons dâentrer un peu plus dans lâauthenticitĂ© du âMade in Franceâ en dĂ©couvrant un panel dâidentitĂ©s avec un petit voyage dans les diverses rĂ©gions de notre rĂ©gion de France possĂšde son histoire, son prestige et son couteau⊠Il est devenu un vecteur de valeurs profondes, chĂšres Ă chacunes dâentre elles. Des confrĂ©ries se sont mĂȘme fondĂ©es pour dĂ©fendre cette richesse et les faire perdurer selon la tradition. A prĂ©sent, il existe une multitude de couteaux rĂ©gionaux et vous allez voir que leurs noms nâont jamais Ă©tĂ© donnĂ© au hasard⊠Avis aux cultelluphilistes et amateurs de couteaux utiles et Ă la fois objets dâ ont tous le point commun dâĂȘtre fabriquĂ©s artisanalement, mais certains sont dĂ©clinĂ©s avec des outils supplĂ©mentaires ou des matĂ©riaux prestigieux. Câest lĂ , la force de ce savoir-faire travers de cette collection de couteaux rĂ©gionaux, vous allez pouvoir vous projeter dans des faits rĂ©els qui vont sĂ»rement vous parler et remonter Ă des gĂ©nĂ©rations derriĂšre la vĂŽtre. Câest aussi cela que la coutellerie Française veut faire Cavalier Pionnier novateurCe couteau pliant prĂ©sente une Ă©lĂ©gance rare. Ce couteau dit de âcavalierâ est aussi appelĂ© Le Pionnier Novateur. Il trouve sa place dans de nombreux centres Ă©questres pour rĂ©pondre Ă un besoin dâentretien de monture. Le pionnier novateur est Ă©laborĂ© dans les ateliers de la coutellerie artisanale Douris Chastel dans le coeur de la ville de Thiers. Ce couteau de poche a Ă©tĂ© bercĂ© par les traditions ancestrales des cavaliers dont les outils prĂ©sents sur ces cĂŽtes font toujours son succĂšs. Sa lame majeure est forgĂ©e dans acier 12C27 de 90 mm. Il est lâun des rares couteaux rĂ©gionaux Ă possĂ©der un cran forcĂ© pour sa fermeture et parfaitement le sĂ©curiser. La seconde lame situĂ©e sur le ventre du manche est un cure-pied de 8,5 cm. Il permet de nettoyer les sabots des chevaux pour leur permettre une meilleure adhĂ©rence au sol lors des guillochage est entiĂšrement rĂ©alisĂ© Ă la main et ses mitres en inox viennent stabiliser lâensemble de ce magnifique couteau dâ Navette Le couteau Suisse â FrançaisLe Navette est un superbe couteau de poche fabriquĂ© par la maison Douris Chastel implantĂ©e Ă Thiers. Cette coutellerie artisanale a Ă©tĂ© fondĂ©e par Pierre Douris et son Ă©pouse Lucienne Chastel en 1942. Ce couteau porte le nom de navette en mĂ©moire de la forme des mĂ©tiers Ă tisser. Ce nom singulier Ă©pouse ses formes arrondies aux extrĂ©mitĂ©s. Il a Ă©tĂ© produit et grandement utilisĂ© pendant le XXĂšme siĂšcle. Il possĂšde de nombreux atouts, notamment celui de son systĂšme de ressort et de la prĂ©sence de sa quantitĂ© dâaccessoires. Selon les fabrications, ce nombre de piĂšces est trĂšs variable. Celui que nous vous prĂ©sentons dans notre coutellerie en ligne contient 6 outils de coupe et câest tout le charme de cette maison qui entre en jeu. Ils ont rĂ©ussi Ă populariser le couteau Suisse Ă la Française grĂące Ă lâapplication dâun savoir-faire et dâune certaine minutie. Produit avec des aciers inox trempĂ© en 12C27, ce couteau universel ne vous fera jamais dĂ©faut. Pour sublimer ce couteau, le manche est rĂ©alisĂ© en bois exotique de Palissandre pour une prise en main gĂ©nĂ©reuse et Thiers LâincontournableLâhistoire du couteau pliant Le Thiers a rĂ©ellement dĂ©marrĂ© dans les annĂ©es 1990. Câest durant cette pĂ©riode que sâest fondĂ©e la confrĂ©rie du âCoutĂȘ de TiĂ©â. Ce couteau aux finitions dĂ©taillĂ©es est nĂ© de la rĂ©flexion commune des artisans Thiernois. Leur but ? Promouvoir un couteau qui serait 100% pensĂ©, dĂ©coupĂ© et fabriquĂ© Ă Thiers. DâoĂč son nom Ă©ponyme. Ensemble, ils Ă©tablissent un rĂšglement nommĂ© La Jurande auquel le couteau devra rĂ©pondre prĂ©cisĂ©ment. DĂšs 1994, le modĂšle de base est destinĂ© Ă ĂȘtre dĂ©clinĂ© par les couteliers fabricants qui voudraient lâinscrire dans leur gamme de couteaux personnels. Selon les coutelleries, le manche possĂšde des bois et matĂ©riaux toujours plus resplendissants. Des inspecteurs sont habilitĂ©s Ă surveiller le respect de la charte de qualitĂ© Ă chaque Ă©tape de la rĂ©alisation de ce respecter ces normes de conception, nous avons choisi de passer par la coutellerie artisanale Le FidĂšle afin de vous proposer un couteau de Thiers avec Tire-bouchon et manche en loupe de HĂȘtre. Mais aussi deux autres modĂšles dont un couteau de poche avec une plume de bĂ©casse incrustĂ©e dans le manche. Des produits dâexception !LâYssingeaux Au dĂ©tail prĂšs !Originaire de Thiers, ce couteau fermant Yssingeaux est fabriquĂ© en France depuis le 18Ăšme siĂšcle. Il porte le nom de la ville de 7500 habitants en Haute-Loire. Mais il est souvent appelĂ© le Bourbonnais en raison de la forme de sa lame. La lame en inox 12C27 de type Bourbonnaise se dĂ©fini par sa pointe centrĂ©e parfaitement au centre de la dĂ©coupe. Puis traditionnellement, le couteau de poche lâYssingeaux possĂšde une extrĂ©mitĂ© du manche qui offre une finition dite en bec de spĂ©cificitĂ© de ce couteau fermant rĂ©gional Il est lâun des rares Ă avoir une lame Ă cran forcĂ©. Les manches ont coutume de mesurer prĂ©cisĂ©ment 10,5 cm et la prĂ©sence dâune mitre importante permet de stabiliser lâensemble. Dans notre boutique en ligne, ce couteau de poche est montĂ© avec cĂŽtes en corne de BĂ©lier nuancĂ© dâune beautĂ© exceptionnelle. LâYssingeaux compte des cousins parmi la famille des couteaux rĂ©gionaux Citons Le Saint-Martin et LâIssoire qui ont en commun la forme de la lame, du manche, et des mitres basses en Laguiole La force historiqueLe couteau Laguiole Ă vu le jour dans les mains de Jean-Pierre Calmels en 1829 dans la ville de Laguiole en Aveyron. Petit Ă petit, il emploie et forme dâautres hommes pour forger ces outils de coupe qui finissent par inonder lâensemble du territoire. La qualitĂ© de la coutellerie Laguiole est reconnue partout en France dĂšs les annĂ©es 1880. Pour rĂ©pondre aux nombreux plĂ©biscites, M. Calmels dĂ©cide de dĂ©localiser sa production dans la capitale de la coutellerie Française Thiers. DĂšs 1930, câest une production de masse qui sâenvole pour conquĂ©rir tous les la production sâest modernisĂ©e et Ă pu redevenir artisanale. Le guillochage ornement du dos du couteau est entiĂšrement rĂ©alisĂ© Ă la main. On y retrouve toujours la cĂ©lĂšbre Abeille sur le ressort, ainsi que la croix du berger sur le propos, lâabeille reprĂ©sentĂ©e sur le dos de ces couteaux Laguiole viendrait dâune lĂ©gende. Il paraĂźtrait que NapolĂ©on 1er aurait autorisĂ© les habitants de la ville de Laguiole Ă porter ce blason en signe de reconnaissance de leur bravoure. Fort de cette distinction, le crĂ©ateur de ce cĂ©lĂšbre couteau aurait repris cette symbolique pour appuyer lâĂ©laboration de cet outil devenu couteaux rĂ©gionaux Laguiole, il en existe des dizaines de versions diffĂ©rentes⊠Avec tire-bouchon, en Corne blanche, en EbĂšne pur, en Bouleau clair⊠Mais le plus remarquable reste le âBottineâ. Le manche de ce couteau de poche Ă©voque une jambe de femme. Sa forme arriĂšre est biseautĂ©e pour reprĂ©senter la bottine. Ce couteau connotĂ© faisait chavirer le coeur de nombreux ouvriers. BRETAGNELe London Le pied marinCe couteau de poche est celui des marins par excellence ! Son premier pied, il lâa posĂ© sur les terres bretonnes. En revanche, il trouve sa vĂ©ritable origine en Angleterre. Il est probable que ce couteau pliant ait Ă©tĂ© introduit en France par les marins Anglais. Mais câest bien les Français eux-mĂȘmes qui lâont baptisĂ© couteaux ancrĂ© dans le patrimoine rĂ©gional ne possĂšde pas de mitres pour conserver les superbes courbes et lâĂ©lĂ©gance du utilitĂ© reste toujours la mĂȘme depuis des dĂ©cennies Ce couteau fermant servait Ă couper une brasse de bout, Ă aider au travaux de sculpture de bois, ou encore Ă prĂ©parer le repasâŠ.Sa lame tranchante en acier inox est droite et assez large. Elle provient probablement du fait que les marins devaient souvent casser la lame de leurs couteaux avant de monter sur un bateau pour les rendre moins dangereux. Cette lame est dâailleurs appelĂ©e âpied de moutonâ. Cela signifie quâelle sâĂ©largit de plus en plus vers la main, le manche en Bouleau naturel dĂ©gage de superbes reflets. Sa prise en main pleine est similaire Ă celle ressentie par les marins qui ont traversĂ©s les Poisson Valeur dâutilitĂ©Ce couteau pliant est aussi couramment appelĂ© âQueue de poissonâ dĂ» Ă sa forme singuliĂšre mais aussi Ă son utilitĂ© qui fait nul doute. Sa taille est intermĂ©diaire Ni trop court et ni trop effet, au fil du temps⊠Sa longueur a Ă©tĂ© rĂ©duite pour offrir un tranchant tout en ce couteau est particuliĂšrement apprĂ©ciĂ© par les femmes. Son manche fin et robuste permet une prise plein manche et tout en lĂ©gĂšretĂ©. Il leur est parfaitement premier couteau de poche âPoissonâ Ă vu le jour en 1843 par la famille couteliĂšre la lame Ă©tait forgĂ©e en acier carbone. Aujourdâhui pour limiter les impacts de la rouille, ils ont associĂ© lâacier Ă du chrome pour garantir un usage confortable Ă vie. Notre coutellerie artisanale vous le prĂ©sente avec un manche en ĂbĂšne noir rivetĂ© en 3 points. Lâavant est ornĂ© dâune mitre saillante pour le stabiliser et renforcer ce couteau de poche afin quâil deviennent totalement Nontron La tradition avant toutLe couteau fermant Le Nontron est certainement le plus vieux couteau de poche produit en France avec la premiĂšre installation dâun maĂźtre coutelier en 1653 Ă Nontron. Pas de doutes donc, ce couteau porte le nom de la ville oĂč il est nĂ© et fabriquĂ©, au coeur du charme est indĂ©niable grĂące Ă petit manche tout en courbes et pyrogravures. Ces atouts visuels font quâil est identifiable au premier coup dâoeil par tous les connaisseurs. Le Buis blond tournĂ© pour le fabriquer possĂšde un grain fin. LâarriĂšre de son manche est sculptĂ© en boule, en sabot, en violon ou encore en queue de carpe⊠Puis une tĂȘte pivotante vient garantir une parfaite tenue Ă la rĂ©alisation de ce couteau purement rĂ©gional passe par une tradition artisanale Ă lâopposĂ©e des crĂ©ations industrielles dâaujourdâhui. La lame est dâune trĂšs grande qualitĂ©. Elle est Ă©galement entiĂšrement forgĂ©e Ă la main et est enrichie en Chrome cela lui Ă©vite dâĂȘtre exposĂ© Ă la corrosion. A offrir ou Ă sâoffrir, ce magnifique couteau de poche au delĂ de son utilitĂ© saura correspondre tel un joyau !ĂLE DE FRANCELe Tonneau â LâidentitĂ© vigneronneLe Tonneau est un petit couteau pliant trĂšs Ă©lĂ©gant qui date des annĂ©es 1900. Il est produit par les Ă©tablissements Thiers Issard. TrĂšs utilisĂ© par les mĂ©tiers liĂ©s Ă lâagriculture comme les maraĂźchers, les vignerons mais aussi les arboriculteurs⊠Ce couteau est typique des rĂ©gions du coeur de la France comme lâĂźle de France, le Centre, lâAin et la SaĂŽne-et-Loire. Son nom est dĂ» Ă lâimage de son usage. Mais aussi aux stries prĂ©sentes sur les doubles mitres prĂ©sentes sur lâavant et lâarriĂšre du manche. Son dos ventru vient expliquer aussi ce terme de lame est de forme âstyletâ ou âPied de moutonâ. Elle possĂšde un encoche pour pouvoir lâouvrir facilement Ă lâaide de votre ongle âNail-kickâ. Ce couteau de poche existe couramment en 2 ou 3 piĂšces. AgrĂ©able en main et en poche, nous vous le proposons dans notre boutique en ligne Ă©quipĂ© de deux lames Ă trancher et dâun tire-bouchon et son manche est en corne de Brume qui saura vous ravir par sa qualitĂ© et ses teintes Roquefort RaffinĂ© pour affinerAvant dâĂȘtre un couteau de poche Ă la renommĂ©e rĂ©gionale importante ; Le Roquefort Ă©tait un couteau utilisĂ© quotidiennement par les fromagers de ce petit village des mitre arriĂšre possĂšde une forme particuliĂšre en entonnoir. Elle offre une trĂšs bonne prise en main plein manche et permet de tourner facilement les fromages. Il Ă©tait aussi utilisĂ© pour enlever la croĂ»te des meules pendant les pĂ©riodes dâ plĂ©biscitĂ© par les touristes venant visiter et effectuer des pĂšlerinages, ce couteau pliant est Ă©laborĂ© avec diffĂ©rents types de que nous possĂ©dons dans notre coutellerie artisanale est fait de bois de pistachier. Le bois de Pistachier Ă lâavantage dâĂȘtre dur, rĂ©sistant et lourd. Ce qui permet dâavoir une poigne suffisante pour trancher de nombreux aliments et effectuer vos petits travaux Saint-Martin Une histoire de plumeLe Saint-Martin est un des rares couteaux rĂ©gionaux dont lâorigine ne vient pas des terres profondes. Par son sublime aspect le Saint-Martin rappelle Ă©trangement la forme de deux autres couteaux rĂ©gionaux LâIssoire et de LâYssingeaux. Et pour cause, ils disposent tous trois dâune lame Bourbonnaise de 9 cm forgĂ©e en acier 12c27 et dâun manche ornĂ© dâune mitre basse en forme de bec de corbin. Au 19Ăšme siĂšcle, ce couteau pliant Ă©tait particuliĂšrement utilisĂ© par les ecclĂ©siastiques. Il leur servait Ă tailler les plumes dâoies quâils utilisaient pour Ă©crire. De plus, il a une tenue en main trĂšs agrĂ©able. Ce couteau pliant possĂšde une mouche forgĂ©e qui fini le manche en EbĂšne noir qui est coupĂ© Ă coeur pour en extraire la plus pure un couteau rĂ©gional comme le Saint-Martin câest aussi faire le choix de vĂ©hiculer une histoire forte et poĂ©tique des relations BASQUELe Yatagan Des racines guerriĂšresCe couteau de poche Basque puise son existence dans des racines Turques. Aussi surprenant que cela puisse paraĂźtre ; Durant les campagnes NapolĂ©oniennes, câest lâarmĂ©e Turque qui a diffusĂ© la forme de cette lame de couteau fortement reprise depuis. Et pour cause âYataganâ est un mot dâorigine Turque Yataghan, qui dĂ©signe un sabre Ă lame oblique et incurvĂ©e. Par la suite, ce couteau fermant a Ă©tĂ© fabriquĂ© puis utilisĂ© par les bergers et les paysans cultivant du pour rĂ©sister durant tous les usages, ce couteau rĂ©gional possĂšde une lame en acier martensitique de nuance 12c27. Elle contient du chrome pour limiter sa corrosion. Il est dĂ©clinĂ© dans de nombreux coloris et porte la croix Basque, le âLauburuâ sur son manche. Signe distinctif des terres oĂč il a Ă©tĂ© en Bois clair et en ĂbĂšne noir dans notre collection de couteaux Lâexcellence des montagnesCe couteau de poche est le compagnon hors pair des randonneurs et montagnards. AlliĂ© dâaventures mais aussi des repas autour de bonnes salaisons affinĂ©es et de gĂ©nĂ©reuses tranches de fromage. Son origine reste assez floue⊠MĂȘme si les premiers modĂšles dĂ©posĂ©s de ce couteau Ă lame dodue ont Ă©tĂ© dĂ©posĂ©s au dĂ©but des annĂ©es 1900âŠSa lame en acier trempĂ©e Ă la forme âYataganâ. Ce type dâarĂȘte qui offre un contre-tranchant qui caractĂ©rise ce couteau Alpin. Son manche est bien souvent constituĂ© de Corne et montĂ© avec des petites plaquettes noires pour renforcer sa prise en main. Dâune rare lĂ©gĂšretĂ©, il saura vous conquĂ©rir pour un usage aisĂ© au nos jours, LâAlpin est un couteau de poche rĂ©pandu dans plusieurs rĂ©gions Françaises et non pas seulement montagneuses. Il est plĂ©biscitĂ© pour ses atouts de coupe particuliĂšrement Le marchand de vinSon nom vient de la ville qui lâa vue naĂźtre au Moyen-Ăge dans le 19Ăšme siĂšcle, le couteau de poche lâIssoire est un modĂšle trĂšs rĂ©pandu. Le plus commun est celui Ă©quipĂ© de deux outils. Câest-Ă -dire quâau-delĂ de sa lame forgĂ©e Ă la Bourbonnaise, il possĂšde un trocart escamotable sous manche Ă©troit possĂšde deux mitres dâacier massif qui viennent consolider les dĂ©coupes rĂ©alisĂ©es en lâĂ©poque, ce poinçon Ă pointe carrĂ©e, dit âmarchand de vinâ permettait de trouer un peu la futaille pour faire goĂ»ter la qualitĂ© du vin aux prĂ©sente des similaritĂ©s fortes avec certains de ses voisins rĂ©gionaux, comme Le Saint-Martin et de LâYssingeaux. Leurs lames de type Bourbonnais, leur manche, et leurs mitres basses en bec-de-corbin leur offre des similitudes trĂšs fortes. Souvent ces couteaux rĂ©gionaux sont comptĂ©s comme cousins par les la catĂ©gorie des couteaux rĂ©gionaux, nous incluons Ă©videmment les couteaux de chasse qui font partie intĂ©grante de notre couteaux de chasse Ă©taient les premiers outils de coupe nĂ©s sur notre territoire. Ils servaient Ă nourrir les hommes, mais aussi Ă construire des abris de fortune pour Hallali Le bruit de la captureCe nom nâest pas dĂ» au hasard. Lâhallali est le cri poussĂ© par les veneurs lorsque lâanimal va ĂȘtre pris. Ce couteau de chasse est lâexemple parfait de la qualitĂ© du travail des artisans Chastel cultive ce savoir-faire dans sa coutellerie ancrĂ©e dans le centre de Thiers depuis des couteau de poche Hallali est le couteau le plus complet que peut espĂ©rer un bon chasseur. Avec ces 8 piĂšces essentielles dont on peut citer un poinçon, une lame Ă Ă©viscĂ©rer, une scieâŠLâacier inox 12 C27 utilisĂ© pour la conception des toutes ses lames en font un objet robuste Ă toutes Ă©preuves. Les mitres appliquĂ©es Ă lâavant sont massives. Les piĂšces multifonctionnelles sont rivetĂ©es au manche et stabilisĂ©es avec de la rĂ©sine pour le rendre incassable. En hommage au nombreuses chasse Ă courre Bien souvent, le manche de ce couteau de chasse est rĂ©alisĂ© avec des bois dâanimaux sauvages Renne, Cerf, ElanâŠLe Laguiole de Chasse Un mythe dĂ©tournĂ©Ce superbe couteau Chasse est un modĂšle dĂ©posĂ© et dessinĂ© par Charles Couttier. Un MaĂźtre artisan coutelier de Thiers. Il le produit pendant de nombreuses annĂ©es avant dâen cĂ©der la fabrication exclusive Ă la maison A. Chevalerias. Le couteau Laguiole nĂ© dans les terres Aveyronnaises au 18Ăšme siĂšcle sâest exportĂ© dans le bassin Thiernois pour rĂ©pondre Ă la forte demande et produire des quantitĂ© industrielle de ce couteau Ă lâabeille. Dâabord couteau de table et de travail, il a ensuite Ă©voluĂ© en fonction des besoins des le couteau de chasse Laguiole est un couteau pliant Ă liner et dispose dâune imposante lame de 4 mm Ă©paisseur afin de trancher radicalement le petit gibier et les carcasses dâanimaux plus volumineux. Il saura vous ravir par son format compact pour autant redoutablement superbes couteaux de poche reprĂ©sentent nos rĂ©gions avec Ă©lĂ©gance. Ils laissent transparaĂźtre lâauthenticitĂ© de notre dâeux est disponible dans notre boutique en ligne avec leur petite histoire associĂ©e. NâhĂ©sitez pas Ă les parcourir pour trouver votre coup de coeur ou en apprendre encore plus sur leur origineâŠSachez que cette collection de couteaux rĂ©gionaux a un vĂ©ritable succĂšs comme cadeau. Au-delĂ des superstitions qui sont infondĂ©es, ces couteaux pliants ne laissent personne indiffĂ©rents.
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